Le 5 mai, en préambule à la manifestation, les Fêtes Romanes et le groupe Caravagues avaient proposé au Centre de Loisir Sans Hébergement du centre social une animation autour du personnage médiéval de Renart, le goupil. Plus d’une cinquantaine d’enfants ont pu assister à deux saynètes mettant en scène Renart, Tiécelin, le corbeau puis Tibert le chat.
Une deuxième animation est prévue au centre social jeudi 12 autour de la fabrication de masques-casquettes et cérémonie d’adoubement.
Le samedi 7, les festivités s’ouvrent avec un pot inaugural où l’on note la présence de M. Quentin, député, Gérard FILOCHE Conseiller Municipal Délégué, chargé du tourisme et de la vie patriotique » à la Mairie de Royan, des élu(e)s et quelques associations de la commune et deux élues de Breuillet. L’hypocras frais est fort apprécié.
Entre deux, les Fêtes Romanes et les Caravagues, aussi le cracheur de feu, partagent un repas sorti du panier.
Vers 16 h, la manifestation commence avec une reprise du sketch de « Renart, Tibert et l’andouille » puis une première prestation du cracheur de feu.
Le public est ensuite dirigé vers l’église. Après une nouvelle intervention du cracheur de feu, c’est la pièce, adaptée du « Jugement de Renart », deuxième partie de cette œuvre immense : les Vilenies de Renart.
Les Barons, du tribunal qui va juger Renart.
Noble, le juge suprême.
Les plaignants qui s’avancent (Ysengrin, le loup, et sa femme Hersant), en arrière plan, Brun l’ours.
Tibert (le chat) et Tiécelin (le corbeau).
Un pèlerin et Pinte (la poule).
Renart et Grimbert, le blaireau, son défenseur.
20h30, le soir, c’est le groupe Caravagues, invité des Fêtes Romanes qui propose son spectacle plus contemporain : Vagues des scènes.
Le président des Fêtes Romanes présente la soirée.
Le salut.
Dimanche 8 mai, un groupe d’une dizaine de personnes se présente devant la tour de Monsieur Ducouret, mais pourquoi dont ?
Celui-ci va expliquer le résultat de ses recherches concernant le « Chemin de Mornaçons », chemin permettant aux marins d’accéder de Mornac à la mer. Selon lui, ce chemin était assez large pour qu’on puisse y hâler des bateaux (à fond plat) ce qui évitait de risquer le passage du pertuis de Maumusson (très dangereux).
Il entrainera ses auditeurs sur les traces de ce chemin et montrera les levées de terre entourant le dit chemin ; qui a été rempierré et dont le niveau a été très relevé. Une après-midi passionnante.
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